Collaboration avec les collectivités est la clé d'arrêt Ebola

who.int - octobre 2014

lorsque le Dr Peter Clements est arrivé, dans le comté de Lofa, au Libéria, il y a huit semaines du Bureau de pays de l'OMS à Monrovia, 20 à 30 patients arrivaient à l'hôpital MSF à Ebola-comme des symptômes tous les jours. Personnes vivant dans la communauté avaient peur, agitation civile était frémissante et une ambulance et la santé des travailleurs visaient les

sécurité de bien des Nations Unies lui a conseillé de ne pas le faire, le Dr Clements a voyagé les 12 heures sur les chemins de terre dans la région le plus proche de la frontière de la Guinée. Une fois là, il est entré dans les communautés hostiles et alla droit aux chefs.

« Depuis de nombreuses années, vous n'avez pas combattu avec ces gens, » dit-il. "Maintenant vous attaquez. Ils ne sont pas l'ennemi, le virus Ebola est l'ennemi. Si nous ne chassons Ebola, il vont nous tuer. Il faut savoir Ebola pour lutter contre le virus Ebola. Mobiliser votre peuple. Nous allons apprendre à connaître l'Ebola. »

Dr Clements dit écoute tout d'abord la porte à une collaboration avec un milieu hostile. Alors il a écouté patiemment la communauté à comprendre leurs peurs, puis il a commencé à expliquer sur le virus et comment les gens tombent malades et personnes peut empêcher eux-mêmes.

Une fois qu'ils savaient ce qu'était le virus Ebola et comment l'arrêter, ils ont ne déclaré ensemble "Aucun plus Ebola dans notre communauté dès aujourd'hui!"

Immédiatement, les personnes vivant dans la communauté est venu avec leur propre plan qui se propagée à l'ensemble des ménages. Ils ont dit :

• Ebola est une maladie, pas une malédiction, pas un complot du gouvernement. C'est une maladie.
• Ceux qui sont malades doivent être déplacés loin de famille et à la clinique MSF à Foya.
• Personne ne pourrait enterrer leurs proches plus. Efficace immédiatement qu'ils appelleraient les gens qui le font en toute sécurité.
• Bien qu'ils soient des gens très amicaux, il n'y aurait pas plus toucher pour accueillir un de l'autre.

Dr Clement a ensuite lancé la même approche autour du comté, Communauté par communauté. Aujourd'hui, 30 villages autrefois hostiles sont ses meilleurs alliés dans la lutte contre Ebola s'arrêtent ici.

« On nous appelle quand quelqu'un est malade, » dit-il. "Nous n'avons plus à aller chercher les patients. Comprennent les communautés et ils nous aident. »

L'impact est important. Aujourd'hui, il y a seulement un petit nombre de patients à la clinique MSF, et c'est le seul endroit dans le pays qu'une clinique d'Ebola envisage de réduire la taille des lits--de 140 à 40.

Personne ne célèbre encore, il est trop tôt. Mais tout le monde reste vigilant pour s'assurer que Foya reste sur la bonne voie pour « pas plus Ebola dans la communauté ».

http://www.who.int/features/2014/Liberia-Stopping-Ebola/en/